Christal Muller
Messages : 6 Localisation : Moonlight ~Rp en cours ~
♪♫I'm back, my love♪♫[Pv]
- Michael James
Dossier personnel Nom: Club: Relation:
| Sujet: ♪ Christal Muller return ♪ Lun 30 Jan - 21:45 | |
| Identité Nom : Muller Prénom : Christal Date de naissance : 31 décembre Age réel : 16 ans Statut : Étudiante Camp: Ombre Description Physique Être ou ne pas être? C'était ce que je disais à l'époque, imitant les dire de ce fameux Shakespeare. J'avais adoré cet homme qui avait évolué le monde dans la littérature et surtout dans un cours de théâtre. Désormais, je ne m'aimais plus ce genre de chose. J'aimais toute genre de chose bien différent surtout jouer... J'adorais jouer surtout avec les personnes.
L'apparence apporte beaucoup dans ce monde. Mentir aussi? On pouvait avoir une bonne personnalité et avoir une moche apparence, tout le monde va te refuser de sortir avec toi car tu n'étais pas attirantes, mais si tu étais une ravissante fleur là on pouvait voir tout le monde se tourner et ainsi t'observer de haut en bas et vice versa, mais l'apparence peut être trompeuse non?
Blond platine presque transparent quand il virevoltait à cause du vent. Des cheveux de cette couleur, plats, dégradés qui m'arrivaient désormais aux épaules. J'avais un toupet qui arrivait aux yeux cachant aucunement mes yeux. Est-ce que j'avais changé? Oui, autrefois j'étais une autre personne qu'aujourd'hui.
Un cache oeil que je ne pourrais jamais enlever sans ma volonté. Mon oeil, qui était sensé avoir une cicatrice en forme de X à cause de mon passé, pouvait voir. Il voit, mais d'une manière plutôt différente. Je n'oserai jamais enlever car je me disais que c'était une malédiction, ma malchance que j'essayais d'éviter de l'observer. Cet oeil, vous ne le verrez jamais, jamais, sauf moi qui pouvait le regarder car après tout c'était mon visage. Mon oeil qui était caché par un cache oeil plutôt unique. Un tissus que j'avais arraché et que j'avais lié pour laisser là, cacher quelque chose qui me terrifiait. Désormais, il ne fallait pu mes cheveux pour cacher un tel oeil, maintenant je pouvais avoir une coupe qui me plaisait. Mon autre oeil... Auparavant, il avait une couleur fade, un couleur sans vie. Cette fois, il a changé pour une couleur plutôt vivante: un rouge pâle. Avais-je changé? Si je me regardais dans un miroir c'était moi, mon visage parfaitement normal avec un nez fin et des lèvres légèrement rosées. Une peau plutôt blanche malgré la couleur de mes cheveux, je ne paraissais pas comme une morte. C'était toujours moi, sauf un point qui me perturbait davantage.
Je n'étais plus une nord américaine qui adorait parler en anglais tout en parlant en français. Je n'étais plus celle qui adorait et qui ne vivait que pour le théatre. Je voulais qu'une chose jouer avec les gens. Savoir qui sont réellement alors qu'habituellement, je ne voulais que connaitre l'essentiel. Étais-je devenue folle? Pour entendre des voix dans ma tête, des rires terrifantes je crois que si.
Une taille moyenne pour une femme normale que je détenais. Pour ceux qui viennent de l'amérique je mesure que 5 pieds 4 pouces. Une taille plutôt normale, une grandeur quoi de plus enchanteur. Une grandeur que tu pouvais soit monter ou baisser la tête pour parler à des personnes. C'était une grandeur bien normale, j'étais normale avec ça. Un corps avec des bras et des jambes. Un fessier et des hanches juste assez pour déterminer que j'avais des courbes de jeune femme. Une parfaite femme que certaine personne pouvait me dire, mais en réalité. Non, j'avais changé. Je le sentais et je le sens toujours.
Une peau si douce, un peau de porcelaine... Une poupée étais-je devenue? Une marionnette qui faisait le travail du maitre? Je ne m'en rappelais pas. Ce que je me souviens... rien en perspectives seulement des images, des prénoms et des sentiments qui étaient vagues. Qui étais-je réellement? Étais-je encore Christal Muller?
Mes vêtements? J'avais des vêtements? Un port d'un décolleter me faisait l'affaire aupavant. On dirait que cette fois, il fallait que je porte une camisole qui ne cachait que ma poitrine avec un chandail légèrement transparant. Les couleurs? Pas besoin de couleur. Ma poitrine assez corpulente sinon en tant que tel je porte ce que j'ai sous la main dans mes tiroirs. Je peux porter n'importe quelle couleur malgré que j'ai une préférence sur le noir. Puis mes souliers... Portais-je réellement des souliers? Non, je ne savais pas pourquoi je ne portais que des bottes à talon haut en cuir ce qui n'était pas habituel dans mon cas. Honnêtement, avant je n'aimais pas les bijoux. On pouvait me voir qu'en ce momemt que je portais un gros collier avec une pierre rouge qui était lié à une mini chaîne qu'on pouvait voir une tête de dragon. Si on savait comment je ne pouvais l'enlever. C'était impossible. Comment réagirait les autres?
Qui étais-je réellement? Je ne me reconnais quasiment pas. Description Psychologique Une personnalité unique qui dépende de chaque personne. Elle peut être forte, faible, bizarre, etc. C'était ce que j'avais comme mentalité. Disant aussi que j'avais une personnalité unique, un caractère plutôt calme qui voulait protèger mes proches. J'étais toujours la même, cependant je n'étais autant sans vie qu'autrefois. Disant que maintenant je vivrais le bonheur... Tout c'était passé réellement vite. Maintenant je me pose réellement la question qui étais-je réellement.
Auparavant, j'étais renfermée. J'essayais de renfermer mes émotions de tristesse, de "non bonheur" au loin des personnes. Ça ne fonctionnait jamais. Cette fois, je me tenais dans la confusion. Comme si je m'étais endormis un beau matin et que je me réveillais des mois ou même des années par après. Voulant savoir ce que j'avais vécu c'était un rêve ou une vie. Savoir si j'avais réellement aimé de nouveau ou un sombre souvenir. Je me sentais amnésique.
En temps normal, j'étais sensée être neutre avec tout le monde. Cependant, aujourd'hui, je ne pouvais l'être. Je souriais, j'avais des émotions. Le plus fort reste la confusion. l'amnésie qui me hante et les souvenirs qui m'apparaissaient au fur et à mesure. Je voulais savoir. Autrefois, je ne pouvais pas être curieuse car ça ne m'intéressait pas, cette fois c'était plutôt le contraire. Je voulais tout savoir. Tout savoir tout ce qui est de plus farfelue ou tout ce qui est anormale dans le monde des humains.
Je me rappelle que vaguement, mais auparavant tout n'était que sarcastique. J'essayais de charmer alors que je ne voulais pas en réalité. J'essayais de rire alors que je ne voulais pas. Avant, je voulais me morfondre dans un coin et de réfléchir à mon passé que je ne me rappelais très peu. Puis, petit à petit, j'avais commencé à avoir des vrais émotions à rire pour de vrai. J'étais devenue parfaitement normale comme aujourd'hui à un détail près. La curiosité qui ne voulait qu'être servit! La curiosité pouvait être un défaut? Ça l'était devenu pour moi.
En gros, je suis plutôt gentille, mais qui reste maladroite. Je suis du genre dans ma tête et qui pense beaucoup et qui imagine plein de scénario. Plein de scénario parfois farfelu. Curieuse comme tant d'autre parmi ce monde. Curieuse d'apprendre ou curieuse de savoir des trucs vraiment intriguant. Comme quoi? Des rumeurs, des secrets quand même assez intéressant, très intéressant. Je suis digne de confiance quoi! Je peux m'informer de sur tout et en plus, je peux garder des secrets alors que d'autres non. Bon, dans les études, j'étudie beaucoup... Ce que je pouvais dire, mais en réalité. Non. Je ne pensais que savoir sur des personnes. Connaitre des choses, je voulais devenir inspecteur et arracher les ver du nez des personne. Je n'étais plus nerds, mais l'avais-je été une fois? Certes, j'avais peut-être eu des notes assez haute car je n'avais rien à faire, mais là non. Je suis intelligente, pourquoi devrais-je étudier? Je devrais flaner et ainsi trouver des choses assez peu commune.
Jouer avec le monde dans le fond.
Côté négatif?Non, seulement quand je commence à chercher et que je ne trouve rien, je perds tout simplement la tête. Je commence à faire des crises alors qu'auparavant il fallait presqu'on m'agresse. Mon passé était disparu dans mon cas. Tout ce que j'avais peur c'était de chercher ce que je savais déjà et de ne rien répondre parce que je me rappelais pas. Quoique quand tu es amnésique tu ne sais absolument rien. Pas dans mon cas. Seulement des vagues souvenirs que je me pose que trop de question.
Ce que j'aime..? Les fraises aux chocolats s'étaient mon point faible. On pourrait presque m'approcher de cette manière tellement que je les adore. Sérieusement, je suis très ouverte dans les nouvelles choses, on peut m'apprendre n'importe quoi tellement que j'aime apprendre. Arf... ah la! J'aime tout et ce que je n'aime se sont les menteurs, les violeurs, agresseurs. Surtout les menteurs. Je ne savais pas pourquoi, depuis quelques temps, j'avais une manie de les punir et de me lâcher dans leur secret. Révéler des choses alors que je n'étais pas sensé révéler. Des secrets par exemple... une malédiction. Je pouvais bien être très maladroite à ce sujet, alors que je l'étais normalement un peu. Uhuhuhu ~ Passé - Spoiler:
31 décembre.
Tout le monde était dans un party mémorable pour une autre année de plus, mais pas pour certain. Mes parents, ma mère qui se dirigeait vers l'hôpital avec mon père au volant. Mon père qui était nerveux de voir ses enfants « apparaître» dans cette belle fin de l'année, pendant que la dame qui avaient les enfants dans son ventre pendant neuf mois, venaient tout juste de perdre les eaux et elle entendait seulement arriver dans une chambre d'accouchement et d'accoucher, elle ne voulait pas le faire dans une voiture, disons que ça serait mal vu avec la barquette avant plein de sangs, alors préférant vers l'hôpital, ils se dirigeaient avec hâte et avec prudence dans la neige pour aller directement aux urgences.
Arrivés aux urgences presque toutes les infirmières s'occupaient de ma mère qui avait commencé à travailler plutôt que prévu. Les contractions se faisaient nombreuses alors, on allait mettre la pédale dans le tapis. J'imaginais seulement le père des jumeaux faire un sang d'encre, les cent pas, à l'extérieur de la salle pour ne pas évanouir à cause de la pression et de la souffrance que la dame avait, il restait bien sagement s'arrachant presque le cœur en écoutant sa belle criée de toutes ses poumons. Dans la salle d'attente, il attendait patiemment avec les quelques membres de familles qui arrivaient petit à petit pour voir les nouveaux nés. Tout se passait bien dans la salle d'attente et pourtant pas dans la salle d'accouchement.
La dame, ma mère, qui poussait de toutes ses forces pour sortir ses deux enfants, mais ça ne fonctionnait pas. On était deux dans son ventre et on voulait sortir en même temps ce qui faisait drôlement mal à la future maman. La déchirant un peu faisant couler le sang un peu plus que les docteurs ne croyaient, ils décidaient de l'ouvrir, faire une césarienne dans de pareil situation était risqué pour les enfants et pour la femme, mais il fallait risquer pour sauver des vies. Faisant rapidement et avec prudence il endormait la dame pour doucement l'ouvrir au niveau de l'utérus. Faisant très attention et pourtant le sang qui avait eu. Ils auraient du attendre un peu car l'accouchement s'en allait tranquillement dans le bon côté, mais en faisant la césarienne, le bébé qui était au dessus à reçu la lame qui avait fait cette section, ce qui lui coupait, le faisant saigner et mourir. Vous savez que les enfants sont très fragiles, il faut en prendre soin. Cependant, le deuxième enfant était sain et sauf et c'était une merveilleuse fille, mais concernant la mère il y avait eu des complications qui restaient toujours un mystère et elle est morte avec l'enfant.
--« On va la perdre! On va la perdre!»
Biiip
--«On l'a perdu plus tôt que prévu...»
12 ans plus tard.
Il racontait quand il était dans la salle d'attente. Ce qu'il voulait entendre pendant que sa belle était dans la salle d'accouchement. Il était paniqué malgré qu'il avait eu un enfant vivant. Il était paniqué de pouvoir entendre qu'ils allaient perdre une patiente et que soudainement, elle était décédée pour une cause injustifiée. Il l'avait mal pris et pourtant... Mon père, avait eu du mal à se remettre de la mort de sa douce et de son autre enfant. Il aurait pu continuer pour sa fille qui était moi. Il voulait bien se convaincre en poursuivant les docteurs ça ne serviraient à rien. Que tout cela n'était qu'une perte de temps et il se battait.
Moi, je n'avais que douze ans quand mon père m'avait dit tout cela aussi soudainement ce que je pouvais m'en souvenir. Il m'avait raconté tout cela avec peine et de misère, mais la rencontre avec ma défunte mère, il me racontait cela comme s'il ça lui faisait mal tout en sachant que ça lui faisait énormément du bien. Cependant, ce n'était pas assez, vraiment pas assez.
Je revenais une fois des courses et je rentrais dans la maison. J'entendais du fracas, alors j'accourais vers le bruit, je voyais une chaise sur le sol et un corps gigoté. Cherchant un couteau pour couper la corde, je coupais en montant sur la chaise et quand j'avais vu le corps tomber à terre... J'étais paniquée. Mais, le père toussait à plusieurs reprises en me disant que c'était une passe de la vie qu'il allait passer. Je ne me posais pas de questions et je continuais comme si rien ne c'était passé.
J'aurais dont dû de suivre mon instinct. J'aurais dû appeler l'hôpital pour que mon père était suicidaire, j'aurais dû, mais je ne voulais pas que la santé à mon père s'aggrave davantage en allant à l'hôpital. J'aurais dû car quand je revenais de l'école, je voyais mon père assis à la cuisine avec une arme à feu sur la table en la regardant bien sérieusement avec une lettre. Surprise, je restais sans bouger sans aucune réaction.
« Papa?»
-«?»
« Tu fais quoi là?» m'inquiétais-je.
-« Je suis pu capable, désolée, ma belle christ.»
« Tu... Tu vas pas me quitter?» sanglotais-je.
-« Je suis pu capable de supporter. Je dois y aller...»
« Mais... mais qui va s'occuper de moi? Ma tante est à Vancouver et ton frère est en Europe pour encore deux ans!»
-« Sorry...»
« JE VEUX PAS QUE TU ME QUITTES! PAPA!!!»
Je le voyais doucement prendre l'arme et le déposer près de sa bouche en me regardant en souriant faiblement.
- « Tu ressembles tellement à ta mère... Prend soin de toi, i love you my girl...»
« PAPAAAA! NOOON!!! PAPAAAA!!!»
BANG! Il avait mit son canon dans sa bouche et peser sur la détente pour faire partir le coups. J'étais à genou, je pleurais pendant que j'entendais les sirènes de la police et des ambulances arrivées en grand nombre. J'étais en état de chocs, j'avais plus de parents et les sœurs et les frères de mes parents ne voulaient pas de moi sachant qu'ils étaient préoccupés avec leur enfants. Que dire? J'étais à l'orphelinat me promenant de familles en famille.
2 ans plus tard.
Je vivais dans une famille qui avait une mère mono parentale avec un enfant trop capricieux que j'aurais donné une raclée du siècle. Enfin, je ne pouvais pas. Je travaillais pour payer le loyer de la mère, payant la bouffe, payant les études, je faisais le ménage, la nourriture, je faisais tout dans la maison pendant que la madame touchait à ma pension pour se taper des gars et acheter de la drogue. Le morveux tant qu'à lui me cassait les pieds, me disant ce qu'il voulait et quand je lui disais non, il allait réveiller sa mère pour dire que c'était de ma faute si j'avais sois disons réveillé la maitresse de la maison. Disons que ma punition s'était «pas sortie» pendant des mois, mais je n'avais quasiment pas et quand je sortais disons que je lui donnais une raison que j'allais travailler. En tout cas.
À l'école, je m'étais trouvée une passion pour passer le temps et c'était de l'art dramatique. Je prenais des cours certes, mais grâce au professeurs qui était là, il me donnait des cours intensifs pour être la meilleure des élèves et avoir une bonne note, mais ça c'était son approche car quand je faisais quelque chose de quand même assez parfait et qui voyait un petit défaut il faisait tout pour que je vienne en récupération après les cours. Une manière pour m'approcher surtout quand il fallait que toute la classe joue une pièce collective. J'étais le personnage principal au hasard, la fameuse Juliette dans Roméo et Juliette. Disons que pour être la parfaite Juliette, il fallait que je pratique, mais avec le professeur, le fameux Nathan qui avait décidé de me faire pratiquer la scène que Roméo rejoins Juliette dans sa chambre.
Maudit soit-il! Il m'avait pris mon premier baisé et en souriant il me faisait approcher de lui pour approfondir le baisé. Maudit cette personne qui m'avait complètement courtisé pour ainsi que je puisse quasi habiter chez lui. Il m'avait courtisé pour que je devienne sa copine et qui prenne ma pureté dans la manière douce pendant que maman adoptive ne sache rien car je continuais pareil de passé et de faire la bouffe même si je n'avais plus vraiment le temps à leur consacrer à cause de ce Fameux Nathan!
Cependant, je ne savais pas comment que les autres avaient su qu'on sortait ensemble. Pourtant on était bien subtile. Durant la journée, je faisais une élève bien normale, le midi je restais bien tranquillement avec mes amies, après les cours j'allais chez moi et quand j'arrivais on venait me chercher pour aller chez Nathan. C'était de même pendant des mois, des mois qui passaient très lentement et par malheur quelqu'un avait su que je sortais avec un adulte. OH! Un élève qui sort avec un prof on va mettre ça sur Facebook, Twitter ou Youtube! Ouuuh, mais tout le monde l'avait appris et ça m'avait carrément ruiné ma vie.
Je travaillais comme femme de ménages pour quelques personnes et malheureusement j'avais fini très tard et je marchais tranquillement pour aller chez mon copain. Quand je rentrais, j'avais entendu des bouteilles de bières tombées, c'était à ce son que j'ouvrais la lumière que j'avais vu un homme très saoul dans le salon, me regarder et venir vers moi. Me caressant ma joue avec une main en riant pendant que moi je restais sur mes gardes.
-« So pretty and yet so evil...»
On parlait souvent en anglais car j'étais origine Américaine et lui..? Je ne savais pas. En tout cas, je le regardais en fronçant les sourcils.
-« So beautiful and you destroyed a life, saying a secret...»
C'était alors qu'avec un poing qu'il me donnait sur le ventre. Le souffle me coupait aussitôt. Il avait frappé drôlement fort, je tombais subitement à genou en essayant de respirer convenablement, mais il me prenait les cheveux férocement en riant.
-« So sexy, but dangerous!»
Il me donnait un coup de genoux sur le visage pour que je puisse tomber sur le dos, en tenant mon nez qui saignait. Je ne pouvais rien faire, disons que le téléphone se trouvait bien trop loin à mon goût et je n'avais pas de cellulaire à cette époque. Il riait encore et se penchait avec difficulté pour prendre mes cheveux pour me tirer jusque dans la chambre. C'était à partir de là, que j'aurais voulu rester dans une autre maison, mais non.
/!\WARNING HENTAI/!\
Il me levait me poussant sur un mur pour ne pas que je tombe et il m'embrassait violemment sur la bouche que j'essayais malgré tout de mordre, mais je ne pouvais pas. Il faisait tout pour que je ne puisse pas bouger et il me tirait en même temps les cheveux. Avec sa main libre, il la faisait balader surtout en allant en dessous de mon chandail pour caresser brutalement mon sein. Mordant cette fois la langue il me lançait sur le lit que je gémissais légèrement de douleur à cause des ressors. Il montait sur moi, embarquant sur moi pour ne pas que je bouge, enlevant mon chandail presque le déchirant, enlevant rapidement mon soutif pour embrasser mon cou me faisant des sucettes et en descendant vers mes seins en s'amusant avec. J'essayais de prendre une lampe pour le fracasser sur la tête de l'homme, mais je la faisais tomber et Nathan en question, riait de plus belle en se déshabillant, en enlevant mon pantalon et mon sous vêtement. Que faire quand l'homme que tu aimes tente absolument de te violer? Que faire quand l'homme était mille fois plus fort que toi et il décidait qu'il te violait? Je pouvais frapper, ça ne lui faisait rien, alors crever un oeil, mais ça ne lui avait rien fait à part le mettre en colère et de prendre un morceau de la lampe pour faire doucement le X de sur mon oeil gauche.
« AAAAAAAAH!!!»
-« Shut up and let youself go!»
Il osait même me pénétrer sans aucune délicatesse. Je hurlais de douleur que je lui frappais un moment donner son oreille qui l'avais fait réagir. Il prenait cette fois le fil et il me passait sur mon cou me serrant un peu pour que je m'étouffe un peu, mais pas assez pour mourir. Alors, il me rentrait en moi sans aucune délicatesse. Faisant des va et viens surtout avec une grande force. Rentrant et sortant aussitôt, me faisant saigner, déchirer l'intérieur de mon vagin. Je criais pendant que lui profitait de moi, tirant sur la corde pour que je me taise et grognant, embrassant mes seins en faisant ses mouvements de bassins. Un moment rendu tellement sanglant avec tout le sang que je sortais à contre coeur. Une première qui me faisait plutôt mal, même atrocement mal qui devenait que trop désagréable. ____________________________________________________________
On pouvait entendre la police rentrée dans l'appartement et se diriger vers la chambre. Nathan tirait brusquement sur la corde me rendant rapidement rouge tomate plus capable de respirer. Je m'évanouissais et je me rappel presque plus rien.
-« GET OUT OF HERE...! Sweet Angel!! I'll see you again!»
Je me rappel seulement de l'hôpital par la suite. Que j'avais resté un mois dans la coma et qu'on m'avait avorté aussi. J'avais reçu une lettre de Moonlight que j'avais aussitôt accepté sans restriction pour épargner de le revoir encore.
C'était mon passé. Un passé assez peu fameux. Un passé noir, obscur, triste, malheureux. Un passé que j'avais eu avant d'aller à Moonlight. Après mon passé horrible, je crois avoir eu un bon souvenir malgré les mésaventures et la tristesse. Cependant, je pourrais dire avec certitude qu'un beau moment j'étais heureuse. Heureuse de l'avoir connu et d'avoir pu l'aimer. Un amour réciproque c'est meilleur que tout. Il reste seulement un mais... Le bonheur de l'autre?
Durant mon séjour à Moonlight. C’était plutôt une école normale avec des élèves et des professeurs, comme dans chaque école dans le fond. Dans chaque école qui avait des pervers, des mauvaises personnes ou un «wanna be bad boy». Il avait des personnes gentilles, marrantes et peu commune. Cependant, ce n’était pas une école comme quiconque aurait décrit. Non, c’était plutôt une école que toutes les personnes avaient sa propre personnalité, avait même sa propre profession. On avait même des catins qui s’envoyaient en l’air à chaque moment. Je me rappelais toujours de cette personne que je ne me rappel malheureusement pas son prénom. Il avait tendance à mettre de la lingerie qui m’appartenait pour aller faire ses sales cochonneries.
Au départ, j’étais un peu seule malgré qu’on semblait bien m’aimer. Tu avais Cameron Davis Lee, à l’époque, il était le sous chef de l’escouade anti-snob. Il faisait terriblement n’importe quoi pour ressembler à Michael. Michael James, lui un albinos qui fumait comme une cheminée, qui était un fabuleux écrivain qui cachait ses secrets, qu’il semblait seul au monde ne voulant qu’aimer. Il avait des amis dont Cameron et Lystatria, il avait... Le prostitué et moi qu’on était également ses amis. Il ne trouvait pas le bonheur malgré tout.
Il y avait eu des mésaventures dans le sens que j’éclatais en sanglot un moment et que seul l’albinos avait été témoin de mon désarroi et vice versa. On était devenu des amis, mais allant plus loin? Oui, certes, je lui avais donné un baisé sur la joue pour le remercier de sa gentillesse, mais est-ce qu’on s’aimait à cette époque si jeune?
Mon Ex qui revenait pour tenter de nouveau m’agresser, mais disparaître aussitôt qu’il avait été apparu. Il avait eu un groupe de Spiral Static qui n’avait pas réellement fait fureur à l’époque malgré que je semblais être fan de Alone, le pianiste, le manager du groupe. Enfin, c’était bien étrange quand j’étais une coquille vide et que j’avais de l’attention en claquant des doigts. Étrange quoi que l’école entière l’était, aussi pour le personnel.
Voyant quasiment un suicide assisté devant mes yeux avec mes pleurs, malgré ma blessure profonde d’un amour désespéré, j’avais réussi à ressusciter cette personne qui avait demandé la mort de la part d’une autre. Demander à quelqu’un en échange de moi. Dick Van Leeuwen. Un professeur d’éducation physique qui détenait des pouvoirs magiques ce que je pouvais comprendre. Il avait ressuscité Michael James... Comment ne pas être émue et comment ne pas se poser des questions par la suite?
Alors, j’avais su qu’à cette époque, il n’avait pas que les humains dans notre bas monde.
Je voulais en savoir davantage, mais c’était à cet instant que je me retrouvais dans le noir total. Dans l’obscurité de l’oubli. Dans le néant des disparus.
Ce que je pouvais voir, du noir, les ténèbres, un tunnel sans lumière. J’étais comme si j’étais entre la vie et la mort pourtant j’entendais rire. Un rire sinistre qui me disait des baratins pendant ma folie. Puis, je voyais un monde, un vaste monde tout nouveau que je ne savais pas. Étais-je allée en enfer? Non aucunement...
Un monde de l’ombre bien avant l’enfer.
Croyant être morte, je me réveillais dans la forêt pendant une journée de pluie. Je croyais que j’étais morte, mais je me demandais ce qui s’était passé réellement. Me demandant qu’est-ce que je faisais ici et qui étais-je vraiment? Me demandant aussi pourquoi j’étais dans un endroit pareil alors que je m’étais endormie qui sait? Non en regardant dans une flaque d’eau, j’avais bien pu voir que ce que j’avais vu, c’était la vérité. La vérité qui faisait mal qui avait quelque chose au delà de nos yeux et qui était là, autour de nous trouvant le moment propice pour nous capturer. Alors, moi qui croyais être sauvée par la sympathie, j’entendais seulement un:
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