Anglo Vs Franco [Pv Jess]

Depuis que je suis arrivé, rien n’allait. On m’avait certes montré l’école, on m’avait aussi montrer l’emplacement que j’allais travailler comme la salle de classe, la salle des professeurs et puis montrer ma chambre. C’était tout ce que je devais savoir et puis la cafétéria aussi.

Tout n’allait pas. J’étais dans une école, sur une île que tout le monde parlait français. Tout le monde parlait aussi facilement français. Moi, j’étais le seul qui était anglophone. Le seul et unique qui parlait Anglais et qui comprenait le français. Oui je le parle, mais je détestais cette langue. C’était plus facile d’apprendre l’anglais à un français que le contraire car tout le monde avait un bel accent pendant que moi non. J’avais un gros accent d’Angleterre.

Oui! J’habitais à l’Angleterre, j’ai vécu à l’Angleterre jusqu’à temps que je reçois une lettre et que j’accepte l’invitation pour m’éloigner de Linda. J’ai rapidement parti pour aller sur une île francophone. Je pourrais dire que d’ici là, je m’étais fait arnaquer. Une chance que je pouvais parler à un professeur d’Anglais en anglais, parce que sinon j’allais me tirer une balle de désespoir.

Je m’étais levé un beau matin comme d’habitude et je prenais tranquillement ma douche comme à chaque matin. J’allais m’habiller d’un jean que je mettais au milieu des fesses. Je mettais une camisole blanche et puis un veston noir en l’attachant que un ou deux boutons. Certes, j’avais l’air quelque peu un gars chic mais après tout c’était un peu mon style, comme certain dise Douchebag avec les muscles, le chandail moulant avec un collet en V. Enfin presque un douchebag.

Je me dirigeais vers les couloirs, même dans la cafétéria pour prendre quelque chose pour me mettre sous la dent. Puis, doucement, mais sûrement je me dirigeais vers ma salle de classe.

Pendant que je me dirigeais vers ma classe, j’accrochais un élève férocement sur l’épaule. Certes, je me retournais pour regarder qui c’était pour ne pas voir quelqu’un que je connaissais, malgré que c’était impossible car je connaissais personne même depuis quelques jours. Bref, en regardant, je trouvais que c’était aucune importance et je continuais ma marche en allant finalement sortir un joint de marijuana et l’allumer non subtilement dans le corridor. Je rentrais, je sortais mes clés et je cherchais quelle était la bonne.

« Oh my god...» soupirais-je en mettant la clé dans la serrure.