Création d'un enfant [PV: Psy] -MATURE-

Toc toc toc toc. C’était étrange comme phénomène qui se passait à l’académie Moonlight. Habituellement, j’avais une nette impression que j’étais inutile dans cette école car peu de personne allait se « confesser » à moi. Je m’en foutais un peu, je lisais pour passer le temps, j’apprenais à connaitre des élèves que je ne connaissais réellement pas. Aussi simple. J’étais seulement un fantôme, un personnage dans une école ayant une rumeur sur le dos, que j’étais avec le Surveillant.

C’était vrai que c’était douteux d’ainsi dire à une psychologue qu’elle était en retenue et qu’en fin de compte, comme punition on devait répondre à des questions surtout avec un élève, qui lui, se disait sans doute que ça allait finir à une scène tordue, mais pourtant non. Forte heureusement. Disons que ça serait immonde de faire cela devant quelqu’un et d’ailleurs avec un homme que je connais à peine, en fait que je ne connais pas du tout. Vous imaginiez la scène? Une psychologue de mon genre en train de coucher avec un homme qui porte un masque 24h / 24? Bon, tout le monde croit ça, mais en réalité, on ne s’est même pas touché.

Bon cette scène n’avait pas fait long feu. Dans le fond, ça finissait qu’après que le Surveillant avait assez de nous voir, on filait, ce qui voulait dire, le lendemain. C’était un peu dure, mais bon, ce n’était qu’un simple détail. Sinon, il avait eu une scène qui donnait de forte confusion à tout le monde. C’était le premier bal de l’académie et tout le monde était sur le trente-et-un. Certes, il m’avait invité à danser à la première danse. Une belle danse qui avait eu une tournure plutôt tordue. Dire que oui on se posait des questions concernant la relation que j’avais avec le Surveillant, mais delà à me mettre des menottes devant un tel publique, qui était les élèves. J’étais carrément bouche bée.

Tout le monde a une attirance envers quelqu’un même si c’est mauvais ou non. J’ai une attirance envers le Surveillant, mais je dois dire, qu’il me donne que trop de mystère. Cependant, je lui en donne également. On est tous les deux mystérieux. Ah ah ah ah ah!

Bref, une fois, j’avais été étonnée de voir qu’il avait pu me secourir d’un gros dégueulasse malgré fort séduisant. J’étais dans mon bureau et me voilà qu’on voulait me taper, dans le sens de me violer ou coucher avec moi. On voulait ça de moi, non mais, il avait le culot quand soudainement et étonnamment, Le surveillant arrivait de nulle part pour ainsi se battre et me secourir. Je restais quoi de plus bouche bée une fois de plus.

Depuis quelques temps, je passais dans le couloir et je me sentais observée. Quoi que je fasse, je me sentais observée même si je regardais partout je ne voyais personne étrangement. Bon, c’était plutôt nerveux comme situation au point que je me sentais suivis une fois. Enfin, juste pour dire que c’était le Surveillant, je savais. Il avait personne qui me regardait réellement en fin de compte.

Alors voilà, aujourd’hui. Aujourd’hui. C’était quelque chose se matin. Alors que je m’en allais me préparer et aller me tourner les pouces pendant toute la journée, j’avais eu une lettre. Elle disait que j’avais un rendez-vous. Un rendez-vous tard le soir, la nuit, enfin quand le soleil était couché. J’avais trouvé cela étrange, au point que j’étais curieuse de voir qu’est-ce qu’il pouvait me réserver.

Toc toc toc toc.

C’était le bruit de mes talons hauts qui faisaient sur le plancher. Je me dirigeais tranquillement vers la salle d’informatique. Je ne m’étais préparée que légèrement, me remaquillant et m’arrangeant un peu. Je me dirigeais tranquillement jusqu’à temps que je plaçais mes cheveux pour ouvrir la porte de la salle d’informatique, car oui... J’étais devant la porte.

J’ouvrais et puis....

Tuxedo noir, cravate rouge, chemise blanche, masque plutôt du genre sailor moon. Des roses dans les mains et un pot de je-ne-sais-trop-quoi. Il avait mis le paquet. Ah..
Je rentrais, j’étais étonnée de ses habits, mais je souriais tout de même. J’étais déjà touchée par les fleurs qui avaient dans les bras, mais vous savez. Il est bizarre, alors il va sans doute me dire quelque chose qui allait me faire tomber sur les fesses. C’était ce qui faisait son charme après tout. L’étrangeté et le mystère n’était que lui, sa personnalité, je l’appréciais beaucoup. J’ai seulement hâte de savoir qu’est-ce qui allait arriver, ça m’intriguait.

« Surveillant?» disais-je en regardant l’heure. « Est-ce que je suis en retard? Est-ce que vous m‘avez beaucoup attendu?»

Pourtant non. J’étais bien à l’heure. Peut-être que lui, il m’avait entendu d’où le pourquoi, il avait l’air un peu plus nerveux... Enfin, je me faisais sans doute des idées.

Je pouvais regarder que le Surveillant avait chaud. Il suait beaucoup sûrement à cause de nervosité pour une nouvelle que je-ne-sais-pas-encore. Il suait et ça paressait légèrement dans sa coupe de cheveux noirs que c’était trempé rien qu’un peu. Je ne faisais pas tout un plat après tout c’était normal d’être nerveux et suer pour quelque chose qui nous tenait à coeur. Certes, je n’étais pas en retard, c’était seulement le Surveillant qui, devait sans doute, arriver des heures d’avances et de souffrir dans son far intérieur. Souffrir intérieurement pour attendre une personne qui devrait arriver vraiment par après, c’était ce qui me fait rire un peu, mais rire pas de la personne, rire de la situation.

Il était si beau dans son tuxedo avec sa cravate. Il était particulièrement séduisant cette nuit, mais il était tout le temps malgré son visage caché par un masque. Il avait son grand charme même s’il n’avait pas confiance en lui. Comment je le savais? Ah, c’était que professionnel. Je savais un peu détecter les faits et gestes des personnes. Comme envers notre cher Surveillant de cette école. Il avait une grande tendance de planifier ce qu’il avait à faire et l’improvisation venait au dernier recours comme si c’était proche de la fin et qui mettait tout son jeu sur la table. Il était aussi spécial dans ses mots pour décrire une personne. Comme en ce moment, j’étais fort appétissante. Ce n’était pas un défaut, mais bien un compliment qu’on devrait prendre en souriant ou en rigolant comme je faisais.

« Merci bien, Surveillant. Vous êtes délicieux aussi.» rigolais-je.

Non, ce n’était pas pour rire de lui! Au contraire, c’était pour le complimenter et de lui mettre à l’aise. D’après les roses, il était nerveusement nerveux et autant que possible, puis c’était mon devoirs, de le mettre à l’aise et de lui faire cracher le morceau aussi.

Je m’approchais de lui en le regardant doucement avec un sourire. Je replaçais légèrement mes lunettes et j’observais bien un pot qui avait dans une de ses mains avec... Attend un pot en vitre avec un... Ça ressemblait à un liquide blanc? À ma connaissance, il n’avait pas d’alimentation qui était aussi blanchâtre à moins que.... Non. Il n’avait pas osé.

Je voyais le pot se fracasser sur le sol, je prenais un air surprise pendant que le Surveillant marmonnait quelque chose que je ne comprenais pas. Il prenait un air si dramatique et si désespérée que je m’approchais légèrement vers lui malgré moi. Je m’approchais pour ainsi le consoler, mais plus que je m’approchais, je m’arrêtais aussi voulant observer le truc blanchâtre qui était sur le sol parmi le verre. Est-ce que c’était du sperme? Il s’était masturbé dans un pot ou quoi? Il était très étrange se personnage.

C’était ce qui me charmait en lui. Il était mystérieux, il était original dans ses propres moyens. Il me faisait bien rire et d’ailleurs ça m’avait plu qu’il aille me sauver des griffes du professeur pervers qu’il voulait me taper. Ça m’avait plu au point de dire qu’il avait gagné beaucoup de point.

« Rien de c....?!»

Le Surveillant s’était levé en se dirigeant vers moi en me tendant ses roses. Je prenais le bouquet plaisir, je les reniflais avec un sourire. C’était si agréable de sentir de belles fleurs, et je ne savais pas pourquoi, elles sentent toujours meilleures quand c’est un homme qui te plaisait qui te les offrait. Je reniflais pendant qu’il me disait quelque chose qui me faisait rigoler dans les roses en le regardant. Il était direct pour dire qu’il voulait finir ses jours avec moi. Très direct au point d’avoir des gosses.

Comme je disais, il me plaisait déjà. Depuis le bal, il me charmait petit à petit et ça n’arrêtait pas de grandir à chaque fois que j’apprenais légèrement à le connaitre. Je savais que c’était en partie à cause de la soif de le connaitre et de le discerner correctement, mais aussi il n’était pas si mal que cela après tout, même avec le masque ou non. Bon, je l’avais pas vu sans masque, mais avec le masque de ce soir, je pourrais imaginer le visage au complet, malgré que ça m’intriguait toujours autant.

Alors, un enfant bien à nous pour nous unir à jamais, hein? Pourquoi pas qui sait. Cependant, je le laissais légèrement languir en reniflant, en souriant et en s’approchant doucement vers lui en faisant attention pour ne pas piler sur le verre et le blanc sur le sol. Il était rouge, le pauvre, ça sans doute prit sa vie pour dire une pareil chose à une demoiselle qui pourrait refuser. Écoute, j’étais différente. J’étais l’exception à la normalité, je voulais quelque chose de plus, quelque chose de plus excentrique.

« Oui, mais à plusieurs conditions, mon cher.» disais-je en m’arrêtant près de lui et en allant replacer le collet de monsieur.

« Si vous le voulez bien, la première: C‘est de vous connaitre davantage.»

Je prenais doucement la cravate rouge, rouge comme les yeux de l’homme qui porte une cravate actuellement.

« La deuxième consiste, si vous voulez, de me montrer votre visage, comme nous allons passer la vie ensemble et fonder une famille.» lui expliquais-je en diminuant un peu la voix car je m’approchais des lèvres de Surveillant.

« La troisième, c‘est de m‘embrasser...»

J’arrêtais de parler. Je voulais qu’il m’embrasse pour savoir s’il voulait vraiment et non me mettre enceinte. Vous savez les hommes de nos jours. Malgré que s’embrasser dans la salle d’informatique ça ne serait pas professionnel, mais qui viendrait ici? Aucune idée. Je frôlais doucement les lèvres du Surveillant, il ne manquait plus que lui de faire son effort. Vous imaginez le moment présent? Une psychologue qui avait dans une main un bouquet de roses et l’autre était accrochée sur la cravate du Surveillant. Une psychologue presque collée sur le Surveillant, c’était le moment présent et c’était ce que les curieux verraient sans doute.

Ce fut un sacré soulagement lorsqu'il remarqua que celle-ci acceptait ses fleurs sans rien dire. De belles roses, rouges. Le Surveillant était quelqu'un de classique. Il allait vers les clichés, tout ce qui semblait très romantique. Il avait surtout peur de décevoir sa douce, s'il sortait de l'ordinaire, peut-être qu'elle le trouverait... Nul? Il ne se rendait même pas compte de son excentricité. Comme si chaques phrases, mouvements, gestes qu'il faisait était naturellement normales... Qui le trouvait normale? Personne. Sauf lui. Ce qu'il pouvait être innocent.
Il était aussi contre tout ce qui se rapportait au vulgaire. S'il prenait un étudiant devant un site porno, il le punissait sévèrement. Et toute la personne complète de Lucas, le dégoûtait à en vomir.


Mais menottée sa douce... Ce n'était pas vulgaire. Non, pas du tout. Il avait une drôle de mentalité impossible à saisir... Comme... Les allemands lors de la Deuxième Guerre mondiale. Un jour, ils acceptaient certain comportement de la part des juifs et l'autre, ils les tuaient sans pitié pour avoir fait ce geste. Le pire de tout, c'était d'essayer d'y trouver une logique, car vous aurez beau chercher... Elle n'existe pas.


La Psychologue tenait son bouquet de roses d'une main, et l'autre s'aggripa à sa cravate rouge. Son coeur fit un bond. Ils étaient désormais si près... Ses doigts tremblotaient, ils avaient si hâte de se poser sur cette magnifique taille... Mince et délicate, mais était-ce trop tôt? Elle prononçait de jolis mots... mais leur signification était lourde. Fort surpris, le Surveillant ne s'attendait pas à une réponse positive de sa part. Elle voulait vraiment un enfant... Et de lui.... Il avait envie de sautiller, de chanter et de danser.... C'était... Parfait ... Jusqu'à ce...


« Oui, mais à plusieurs conditions, mon cher. Si vous le voulez bien, la première: C‘est de vous connaitre davantage.  La deuxième consiste, si vous voulez, de me montrer votre visage, comme nous allons passer la vie ensemble et fonder une famille.
La troisième, c‘est de m‘embrasser...»


Il figea. C'était beaucoup... Malgré tout, sa main pris une mèche des cheveux blancs de la Psychologue pour les caresser... Ils étaient doux... Il ne l'avait jamais douté. Il réflichissait à sa proposition. Ce que cela voulait dire. Elle ne le connaissait pas assez? Que voulait-elle savoir? Bien entendu, il n'était pas question qu'il lui raconte certain moment sombre de son existence. Il y avait des limites. S'il venait à tout dire, peut-être qu'on le renverrait de cette école. Et en dehors... Il ne saurait comment y vivre. L'académie était en quelque sorte un monde isolé, parallèle  à la vraie vie. Elle servait à démontrer aux étudiants comment vivre en société, c'était pourquoi il y avait des élèves normaux et non-normaux. Les élèves non-normaux devaient s'adapter à vivre en société sans blesser les autres avec leur pouvoir. Et les normaux, devaient apprendre à co-habiter avec des gens différents d'eux. Ainsi, on pouvait éviter de grands conflits. Il existait pourtant des gens comme le Surveillant... Qui restait au pensionnat, et ce sûrement jusqu'à la fin.


-Non... Je ne peux pas... Dit-il en baissant son regard.


Il lâcha la mèche de la Psychologue et soupira profondément.


-Je peux vous informer sur certaines choses....Il faut simplement me dire ce que vous voulez connaître de moi, mais je ne peux pas tout vous dire. Alors ne me répondez pas "Tout". Il m'en serait impossible.. Je.. Je suis navré....


Le Surveillant posa ses mains sur la taille de la Psychologue, allant la caresser lentement, avant de la serrer contre lui. Cette sensation, il l'adorait. Il était follement amoureux. Ce corps qu'il tenait... Il le voulait à jamais.


-Je ne peux vous montrer mon visage. Il m'en est impossible. Mais si nous avons un enfant, peut-être aura-t-il mes traits et vous saurez de quoi j'ai un peu plus l'air... Dit-il en souriant.


Il n'était plus du tout stressé, le plus gros était passé. Son angoisse c'était volatilisé. Désormais, il se sentait à l'aise.... Mais il sourit, un sourire ironique... Il voulait changer la situation de côté. Être Surveillant.. Signifiait connaître tous les secrets de l'Académie.


-Et puis... Si vous souhaitez que je vous embrasse... Laissez-moi donc retirer vos lunettes..... Murmura-t-il en mordillant son globe.

Lorsque je m’étais approchée de lui, mon coeur faisait je-ne-sais-trop-combien de tours sur soi-même. Je m’étais approchée du Surveillant et c’était comme si mon coeur voulait s’en aller au sien pour rester accrocher. Je sais que ça peut paraître fou disant ainsi surtout en ce moment que je connaissais si peu le Surveillant. Je voulais le connaitre, disons que ça serai un petit plus sur le peu que je le connais, mais ça ne changerai rien de la sensation que j’avais pour cet homme. Sinon, voir son visage, c’était toujours un point qui m’intriguait souvent, mais je pouvais imaginer le reste de son visage sur les brides que j’ai pu voir sur sa collection de masques, que je pouvais en déduire, qu’il mettait à chaque jours.

Je le sentais figer. Je fronçais légèrement les sourcils. Pourquoi il se figeait? Ce n’était pas la mort que je lui avais demandé pourtant, mais bon, c’était vrai que c’était sûrement beaucoup pour lui. Lui, qui disait rien concernant de son passé. Lui qui ne montrait rien de son visage, pourtant il devrait. Bref, les mystères, l’intrigue c’était ce qui me charmait en lui, sa personnalité, me faisait rire et aussi il était quand même séduisant avec son masque. C’était que des petits plus que je lui demandais de me dire tout simplement, sinon je m’en foutais, je finirais par savoir un de ses quatre.

Je le regardais doucement derrière mes lunettes en attendant patiemment sa réponse. Je le voyais qu’il réfléchissait à mes demandes. Il réfléchissait, jusqu’à temps qu’il baissait la tête en soupirant. Il ne pouvait pas. Pourquoi ça? J’étais certes déçue, mais c’était amplement son choix et d’ailleurs je l’avais demandé s’il voulait ou non et à date c’était non tout simplement.

Il reprenait doucement la parole, je déposais les fleurs sur la chaise qui n’était non loin. Je déposais les roses rouge comme le sang délicatement pour ne pas qu’elles se brisent et que... Que c’est ça, quoi?! Je souriais doucement en écoutant ses belles paroles, je pourrais lui poser des questions quand ça me tenterait, mais ça se pouvait qu’il ne me réponde pas à toutes. Je pourrais lui demander, son prénom, son âge... Il faisait quoi comme métier avant d’être le surveillant de cette école et tout. En savoir un peu plus, m’enrichir dans le fond.

« Je vous poserai des questions sans exception. Vous n‘allez pas échapper à mon pseudo interrogatoire.» le taquinais-je en rigolant légèrement.

Puis, j’étais surprise de sentir des mains se poser sur ma taille. De sentir me caresser les hanches. J’étais très étonnée à vrai dire. Je pensais que ça serait un homme saint-ni-touche. Un homme qui n’oserait aucunement toucher quelqu’un. Bon, j’avouais que c’était rien d’extrême, mais je le verrai bien ou il pourrait bien aller. À ce que je pouvais bien entendre parmi les murmures qui cour dans le couloir c’était que le Surveillant n’aimait aucunement les personnes qui vont sur les sites pornos ou qui sont en rapport avec la vulgarité, mais lui... Il irait dans la vulgarité pour notre enfant? Au moins, il faisait le minimum pour l’instant allant même me serrer contre lui. Je déposais mes mains sur sa chemise en caressant aussi. Nom de dieu, je pouvais sentir mon coeur qui allait me lâcher à tout moment, quel désagréable sensation. J’avais peur de mourir, sérieusement, dans ses bras.

Je souriais l’entendant dire que j’allais sûrement découvrir ses traits faciaux grâce à l’enfant que nous voulions avoir. Ses traits qui ne seront pas les miens, mais bien celui du père. Honnêtement, je ne pensais pas aller dans un île isolé et trouver un être qui me voulait de ton être et qui m’aimait et qui voulait avoir des enfants avec moi, malgré son travail et qu’on vivait dans une académie. Ça serait étrange et surtout j’aurais peur pour l’enfant qui vivrait avec des adolescents en crise d’adolescence. Enfin, tout pour vous dire que j’avais l’imagination en action en ce moment.

Je sentais que son sourire avait changé de tournure. Son sourire avait changé de personnalité. Je m’interrogeais pendant que lui allait tranquillement vers mon oreille et murmurer quelque chose que je restais figer. Il voulait enlever mes lunettes sans force. Il voulait que je les enlève. Je frissonnais et rigolant à cause du mordillement de mon lobe d’oreille, mais honnêtement je réfléchissais. J’avais peur. On disait, je me disais que les yeux étaient et sont les fenêtres de l’âme des personnes quelconques leur nature. J’avais peur.

« Ça serait risquer...» murmurais-je finalement en passant mes bras autour de son cou.

Je collais ma tête contre la joue du Surveillant en réfléchissant puis je murmurais à son oreille.

« Si vous aimez courir de gros risques allez-y, mais je préfère les garder, malgré que je désire par dessus tout vous embrassez.»

Je lui caressais les cheveux à ses mots. Ses cheveux noirs ébènes, noirs parfait. Je les enviais ses cheveux car ils étaient le parfait contraire des miens et ses yeux... Ses yeux qui me faisaient sentir que j’étais l’unique personne qui désirait. Je me sentais bien, surtout dans ses bras sentant son parfum et en caressant ses doux cheveux faisant attention pour ne pas détacher accidentellement son masque.