[ Hänzel Wiedermann ]

Messages : 1 Age : 29

 Identité 
Ancien tueur en série
[ Hänzel Wiedermann ] 868867hanzel3

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Nom:	Wiedermann
Prénom:	Hänzel
Date de naissance:	14 mai
Âge réel:	22 ans
Statut :	Professeur de Littérature

Description Physique

Assis sur ce banc de parc, le ciel grisâtre, le bouquin à la main, Hänzel regardait tout ces gens qui passaient à côté de lui, tout ces innocents et inconscients qui n’imaginaient pas le risque qu’ils couraient en marchant près de ce tueur en série, toujours libre. En effet, le blondinet avait tué une poignée de gens par des processus sanglants, de la torture, viol, mais surtout lentement. Lorsqu’on le regardait, on ne voyait que ce professeur de Littérature un peu étrange que les élèves e l’Académie avaient de la difficulté à comprendre…
Des cheveux blonds cendrés, toujours peignés à la perfection, car chaque matin, Hänzel prenait le temps de se coiffer. Il possédait de jolis yeux pairs, ni bleu, ni vert, un petit gris sombre où une douce lumière pouvait éclater une fois de temps en temps. Ses cils étaient d’un naturel long, plusieurs filles auraient donné n’importe quoi pour les avoir.

Il sourit en pensant à tout cela, il le savait qu’il n’était pas laid, son corps était bien proportionné, il était grand, fin, un peu musclé, mais surtout parfait. Ses doigts étaient longs, mince, son visage triangulaire un peu androgyne. Il aurait pu devenir mannequin. Pourtant, il s’était dirigé vers la littérature… et les meurtres, dommage.

[à terminé]

[ Hänzel Wiedermann ] 536987hanzel6

Description Psychologique

minimum

Passé

Le grand A
Admire-le ; celui qui est lâche.

Hänzel, 13 ans assis dans le salon, la bouche grande ouverte fixant sa petite pleurniché, elle avait le visage couvert d'eau salée, son corps tremblait sous les coups de son père et lui sentait un sourire qui naissait sous cette violence gratuite. Les cris de la fillette était musique de fond, le petit garçon sortit son carnet, inspira et commença à écrites se fichant du massacre qui se tenait devant lui.

<< J'aime ta souffrance,
Cris donc plus fort
Ce chant de mort,
Cette grande chance. >>

Son sourire grandissait, l'inspiration l'envahissait, il tapait des pieds comme un possédé, il riait sans relâche... Les cris de sa sœur se turent, son père la lâcha pour s'approcher de son fils. Le voyant arriver, Hänzel arrêta toute sa comédie. Il fixait son père, Jakob avec admiration. Celui-ci lui vola son carnet, lu son court poème et le déchira droit devant lui, faisant vole les morceaux de papier.

- Cet grande chance? Cita Jakob
-Uh... Ouiiii......!

Cette réponse lui valu un coup de poing en pleine figure. Son père sortit une cigarette et l'alluma, avant de l'obliger a de mettre a genou devant lui. Le visage soulevé vers son géniteur, père et fils de regardaient droit dans les yeux. Jakob lui cracha sur sa joue, Hänzel ne bougea pas et sourit doucement. Tel une routine, il ouvrit sa main et la tendu vers son père. Sa petite sœur, Gretel, spectatrice couverte de bleu, ce mise à crier.

-Non! Piitié... Arrêtez père! Ne lui faites pas mal! Dit-elle en tremblant.

Et sans même de retourner son père soupira.

-Tu veux savoir ce qu'il avait écrit sous tes cris?

Il écrasa sa cigarette fans la paume ouverte de sondons qui se mordillait les lèvres pour rester silencieux. La bave coulait sur son visage et Gretel pleurait sans relâche.

-Non.. Non! Je ne veux pas savoir... Chuchota-t-elle.

Jakob sortit son couteau et le posa sous le cou d'Hänzel, l'obligeant à relever une fois de plus son cou, la bave de son père lui coulait vers des yeux légèrement plissé. De son autre main, il écrasait de plus en plus sa cigarette dans la main de son fils.

-Raconte-lui Hänzel, murmura son père.

La main tremblante, Hänzel souriait.

-J'ai.... J'ai.....
-RACONTE-LUI!
-J'ai... J'ai... J'aime ta souffrance!

Il mangea un coup de poings dans son ventre, restant à genou, le couteau se faisait plus pressant contre sa peau. Gretel avait cessé de hurler, le visage pleurant et regardant son frère parler avec douleur.

-Ensuite? Murmura à nouveau son père, en lançant la cigarette éteinte plus loin.

Les lèvres pleines de sang, à force de se mordiller, Hänzel essayait de se rappeler la suite de son poème.

-CRIS DONC PLUS FORT! Hurla Hänzel
-Ce chant de mort... Continua Jakob en ouvrant légèrement le cou de celui-ci.

Hänzel cria plus fort de douleur, des larmes coulaient lentement sur ses joue. Son père se recula et Hänzel marchait à quatre pattes vers lui. Il se colla aux jambes de celui-ci.

-Cet... Grande chance... Murmura-t-il en crachant du sang, contre son père.

Il lui donna un coup se pieds pour se dégager et il partit, le couteau a la main, laissant son fils couché au sol avec sa sœur accroupi sur lui.

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Le grand B,
Beau baiser de non-Bienveillance

<< Cher journal,
Depuis qu'Hänzel a eu 15 ans, plus rien ne ça. Je m'inquiète sans cesse. Il est si étrange, même à l'école, il est vulgaire, il.., oh je dois te dire journal, il admire notre père, comment fait-il pour l'idolâtrer cet homme qui nous bat? Je n'ose en parler â personne. Notre père est tellement fou, pourtant Hänzel fait tout pour que celui-ci le remarque. Ce n'est pas le pire, hier, je les ai vu, leurs lèvres collés l'une à l'autre... Pas un baiser normal, comme... Comme si Hänzel était ma maman. Cher journal, je ne comprends rien, aidez moi à sauver mon frère. Il ne mérite pas ça. Personne ne le mérite...

Merci, Gretel >>

Hänzel, sous les couvertures regardait sa petite sœur, il lui souriait en la voyant fermer son journal. Ils avaient a peine une année de différence, il s'adoraient.

-Gretel, tu as écris quoi?
-Un message, je voudrais qu'on parte loin de papa... T'as beau l'aimer, il est mauvais Hänzel !

Hänzel remonta des couvertures jusqu'à son nez et soupira.

-... Partir? Et maman... Si papa est mauvais... Elle sera seule avec lui...
-Non! Papa est gentil avec elle, il l'aime répondit Gretel.
-TU MENS! Hänzel souleva avec violence ses couvertures. PAPA AIME PERSONNE! JE SUIS SON PRÉFÉRÉ!

Gretel se coucha, ferma les yeux. Elle ne comprenait rien. Le culte que vouait Hänzel à son père était inexplicable. Il finit par se calmer avec ce silence de la part de sa petite sœur. Il ferma les lumières.

-Dit Gretel?
-Oui...?
-Si on part... On fera comment pour revenir?
-Je ne sais pas Hänzel. Pourquoi voudrait-on revenir?
-Le jour où papa m'aimera vraiment... Je voudrai revenir...

Gretel ne lui répondit pas, elle s'endormit, oubliant l'inquiétude qu'elle avait envers son frère.

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Le grand C
Cadeau, Collier et confiance pour Cassandre.

Jakob travaillait, Gretel était chez une amie, dans la maison, il n'y avait qu'Hänzel et Cassandre, sa mère. Celle-ci dormait, une douce sieste en après-midi, Hänzel marchait a pas de loup vers la chambre de sa mère. Dans le cadre de la porte, il la regardait se réveiller. Elle ressemblait à une princesse, une vilaine princesse qui se fichent du mal que son mai faisait à leurs enfants.

-Hänzel?
-J'ai un cadeau pour toi, dit-il sans émotion en lui montrant un collier.
-Ce n'est pas ma fête!...

Hänzel S'approchait et s'assis sur le lit a côté de sa mère, il n'y avait aucune émotion dans son visage. Il lui passa son collier dans son cou. Cassandre souriait.

-C'est magnifique.

Elle lui donna un câlin, une longue étreinte, elle était si ravis. Elle pris son visage entre ses mains et lui donna un baiser chaste sur sa joue.

-Tu n'embrasses pas comme papa, répondit le grand garçon de 17 ans.

Le silence se créa. Sa mère savait tout, lais elle se taisait sa tête se baissa. Elle avait eu ces doutes, mais elle refusait d'y croire. Ses longs doigts caressaient les bleus dans le cou d'Hänzel. Elle pensait que ce n'était qu'un rêve, son mari ne pouvait faire de telles choses.

-Je... Je vais prendre mon bain, dit-elle, mal-à-l'aise.

X-X-X

Cassandre coulait l'eau de son bain, elle chantonnait, pour de changer les idées. Elle s'enfonça dans son bain, se lava. C'était la première fois, qu’elle s’apercevait a quel point toute cet histoire était si... Elle n'eut pas le temps de penser a autre chose, des mains s'étaient faufilés dans l'eau et gardait son visage sous l'eau. Elle se devait jusqu'au moment où elle mourus. C'était la fin, et le début des meurtres d'Hänzel.

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Le grand D
délire, démence d'une fugue

Hänzel était dehors, il attendait Gretel, avant que son père rentre, et découvre le cadavre de sa femme. Une fois qu'elle fut arrivée, il l'arrêta avant qu'elle entre.

-Gretel... Partons tout de suite!

-Hänzel...?
-Tu te souviens?!
-Si... Si... Mais pourquoi maintenant?

Hänzel lui prit la main et l'entraîna cers la forêt.

-J'ai lu ton journal Gretel.

Ils étaient dans la forêt.

-Non...
-Si.... Et j'avais une question Gretel, qu'as-tu faite pour "m'aider"?
-Je....
-C'est moi qui t'ai sauvé. Chaque fois que tu te faisais que tu puisses être sauve! Pourtant, tu me traites de fou dans ce foutu journal! COMME SI C'TAIT TOI QUI ALLAIT ME SAUVER!
-Tu... Tu délires... Hänzel dit-elle en reculant
-Mais ce n'est pas grave, j'ai trouvé comment retrouver mon chemin..:
-Hänzel... Tu disais que...
-Que j'aimais ta souffrance?
-Tu ne criais pas assez fort... Tu je n'as jamais dit que t'aurais voulu... Que je t'aide!
Hänzel sortit son couteau, les yeux pleins de rage. Il était si frustré
-J’AI TROUVÉ UN MOYEN DE RETROUVER MON CHEMIN GRETEL!
-Tu ne m’as jamais chanté ce cha..chant… de mort.. je ne pouvais pas savoir que tu soufrai…
-J’AI TROUVÉ UN MOYEN DE RETROUVER MON CHEMIN!
-Cet grande.. chance……………………………………………………….murmura Gretel

Et Hänzel lui enfonça son couteau en pleins ventre… Gretel mourus aussi simplement, transporté par son frère, son sang coulait, laissant un marque à jamais sur le sol… une marque.. pour qu’ Hänzel puisse retrouver son chemin.

Et Hänzel continua ses meurtres, le seul moyen de calmer sa frustration. Il étudia pour devenir professeur de littérature, tout simplement par envie. Il n’est jamais retourné voir son père, on a annoncé sa mort dans le journal, je ne sais point si c’est Hänzel qui l’a tué, ou s’il s’est suicidé en voyant sa femme.
Une chose était certaine, ces mots :

<< J'aime ta souffrance,
Cris donc plus fort
Ce chant de mort,
Cette grande chance. >>

N’était pas la pensée d’Hänzel, mais ce que sa sœur pensait pour lui. Car en effet, sa sœur n’a jamais rien fait pour le sauver, elle aimait mieux voir son frère souffrir qu’elle-même. Elle souhaite par contre que son frère lui dise qu’il voulait que tout cesse, pour qu’il puisse s’enfuir enfin. Et cette grande chance signifiait tout simplement, que sa sœur était chanceuse de ne pas subir ce que son père lui faisait.
Relisez l’histoire et vous allez comprendre.

Autre chose à ajouter ?

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Animal de compagnie	Léo, son gros lézard
Origine	Allemagne
Premier meurtre:	Sa petite soeur
Passion:	Les romans psychologiques
Horientation sexuelle:	Homme et Femme

LES CODES ;

Spoiler:

Hors rpg

Pseudo :

Fréquence de Connexion :

Niveau en RP :

Avez-vous lu le Règlement ?

Où avez-vous connu le forum ?

Maintenant, j'ai enfin décidé!

*fait des claquements de doigts qui tuent*

Que je vous souhaitais: BIENVENIDO!
Je me disais que c'est vraiment sans coeur de notre part et ainsi ignorer une telle personne d'une telle beauté. Qui aime la vie dans toutes ses formes et qui aimait une personne dans toute sa personnalité même les plus sombres. Ca m'émue. Personne m'a autant émue que vous, même pas le Surveillant et même pas les élèves qui me confient tant de situation dramatique qui mérite que je verse une larme. NON! Je verse une larme à cette histoire plutôt touchante, je vous le félicite! *applaudit*

Et puis, on a tous une crainte que vous nous sautiez dessus. Franchement, un Professeur de Littérature de votre calibre ne pourrait pas perdre son sans froid et être autant immature qu'un Professeur qu'on a eu ici.

Pfff! Pfff!!! Allez, j'ai hâte de savoir la suite de votre description physique et la psychologie! ^^